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18/04/2011, 19:46 De l'art d'aller à l'essentiel J'en avais oublié que j'ai un truc à uploader - rien de tel pour se remémorer qu'un trier par date de modification -, et ce n'est pas de ça dont je vais vous parler. Ni du futur Antre du Mal Ni de l'avant dernier strip, jamais fini. Ni de la fin du monde, encore 20 mois. Ni des hyperliens si pleins de fiel de Wolf, tant bien même qu'ils appellent à une réponse. NON. On va parler culotte.
Les tsundere sont un des personnages-type de la japanimation. En gros, des filles particulièrement irascibles qui finissent, naturellement, par tomber amoureuses du héros et qui deviennent toutes douces et obéissantes. Comme il se doit. Sans me lancer dans une vaine querelle d'experts - que je ne suis pas -, Asuka est peut-être l'archétype du genre, à transformer Shinji en paillasson (*) pendant 26 épisodes avant de revenir à de meilleurs sentiments dans les dernières secondes de l'OAV. Une coriace.
Un autre concept très japonais est celui du panchira, littéralement "on voit ta culotte". Effectivement, la jupe est parfois portée très courte là-bas, et, selon la position, l'activité ou le sens du vent, il est possible que tout se voit. Sex to sell aidant, les pantsu-shots ont envahi la japanimation, même les vrai séries avec un scénario devant en incorporer sous la pression des fans (qui a dit Code Geass saison 2 ?).
On en arrive logiquement à Seikimatsu Okaruto Gakuin, une série qui ne laissait guère de doutes quant à son contenu vu l'accoutrement et les tendances homicides de son héroïne. Tsundere + Panchira = Win Terrible erreur. Les critiques ont toutes souligné le lancement sur les chapeaux de roues de la série, avant que la pointe d'originalité ne sombre un peu dans le n'importe quoi vers la fin. Mais toutes ont également raté un point essentiel.
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