Du Pur Gaming (Ep. 1) - Le Blog en Sursis

Ils ont toujours de ces noms, les Street Fighter, genre "Street Fighter EX plus α", "Street Fighter II Dash plus"... -_- C'est sûrement pour différencier les 47 déclinaisons des principaux jeux.

SF et moi, c'est une longue histoire de frustrations. Passons sur SF I sur Amstrad CPC pour en venir à SF II : le jeu phare de la Super Nintendo, console que je n'aurai jamais eu. J'ai donc attendu UNE BONNE ANNEE la version Megadrive, excellente s'il en est pour la machine. A défaut d'avoir une manette 6 boutons, il aura fallu faire avec les 3 de la manette de base ('Start' pour alterner poings/pieds, aucune indication à l'écran et super pratique dans les combos).

Le drame de ma vie n'est pas terminé car, le jour où je l'ai finalement obtenu, j'avais une dissert' interminable à faire et à rendre pour 17h dernier délai.

L'inéluctabilité du destin se transmettant de génération en génération de jeux, j'aurai attendu jusqu'à maintenant avant tester le 4ème opus. ET J'AVAIS UN RAPPORT A RENDRE LE LENDEMAIN

Street IV dernière version débarque avec 39 (trente-neuf) persos, les commandes restant très proches pour tous les classiques comme Ken ou Chun-Li. Le gameplay a toujours été assez unique par rapport à la majorité des jeux de combat : il ne s'agit pas de "confirmer" un coup rapide pour enchaîner l'ennemi à l'infini, mais plutôt d'anticiper ses mouvements. C'est pour cela que le jeu me paraît rigide avec ses sauts interminables laissant largement le temps de les dragon puncher.

Pour l'instant, si je m'en sors assez bien avec Bison par exemple (des heures de "Jump HK -> Low MK -> Scissor Kick -> Knee Press Nightmare" sous SF Ex + α ne s'oublient jamais) je me prends des raclées de dimension biblique avec les persos que je ne connaît pas, et en "normal" s'il vous plaît.

Il faudra quand même penser à acheter un vrai pad avant de détruire le clavier.

Scandaleuse campagne de propagande d'Europe Ecologie, ce jeu se contente d'illustrer les effets supposés nocifs d'un hiver nucléaire sans jamais apporter de preuves pour appuyer ses affirmations gratuites.

Le monde est donc gris, radioactif, rempli de mutants et de phénomènes paranormaux. L'humanité survit dans les égouts, ce qui ne l'empêche pas de continuer à s'entretuer, et toute expédition à la surface revient avec moins d'hommes qu'au départ, si jamais elle revient.

Metro 2033 s'efforce de mettre le joueur dans la peau plus ou moins misérable du protagoniste, notamment via une attention poussée pour les détails (allumer son briquet avant de pouvoir lire ses objectifs de mission) et des missions bien scénarisées. Les munitions sont rares. Il faut donc privilégier les headshots et piller comme un vautour tous les corps rencontrés.

On se déplace donc sur une carte, et des hordes d'ennemis surgissent brusquement dans une phase d'action où on peut choisir ses armes pour les canarder.

Le résultat est original, la touche d'humour simple et efficace, mais, une fois la surprise passée, le jeu va certainement devenir répétitif. Les propositions continues de changement d'arme pendant les combats finissent également par casser les pieds.

Shen 2013-07-18 11:57:36
Je ne comprendrais jamais comment tu fais pour jouer à un jeu de baston au clavier...

Katas 2013-07-18 17:44:35
Bah, avec les touches.

Il n'y a que les ↓ ↘ → ↘ ↓ ↙ ← qui peuvent poser problème, sans aborder le sujet des → ↘ ↓ ↙ ← ↖ ↑ ↗ →.

Le problème c'est que j'ai un clavier plat avec des touches très sensibles, et que je vais finir par les détruire.