|
09/10/2011, 21:04 Mes animes de l'automne 2011 (2/4) Dans cette période difficile, je trouve le temps de mettre à jour la liste de mes animes de l'automne un petit mois avant le début de l'hiver...
Nombre d'épisodes vus : 21 Les plus perspicaces de mes lecteurs l'auront noté, mais la diffusion de Gosick est déjà terminée. Qu'à cela ne tienne, cette seconde partie d'article vise à décrire MES séries de l'automne 2011, ce qui me laisse une définition particulièrement large de la chose. J'avais initialement laissé Gosick de côté malgré les bons échos que j'avais pu en avoir. En effet et à première vue, l'héroïne ressemble beaucoup trop à mon goût à une loli doublée Heureusement, c'était une fausse alerte. Victoria, car il faut bien la nommer, est sous ses dehors de poupée gothique un personnage intéressant. Douée d'une remarquable (surnaturelle ?) capacité d'analyse, elle est le cerveau de l'équipe tandis que son compagnon est l'absence de muscles. La série fonctionne par arcs de plusieurs épisodes, dans lesquels une énigme policière doit être résolue. Le premier arc, digne d'Agatha Christie, m'a enthousiasmé. Si le reste des épisodes prend un rythme plus convenu, Gosick reste néanmoins une excellente série.
Nombre d'épisodes vus : 6 Hana-saku Hiroka conte les aventures d'une jeune fille littéralement abandonnée par ses parents et qui se retrouve à faire la femme de chambre dans le ryokan de sa grand-mère. Comme il se doit avec ce type de scénario, elle se heurte à de l'hostilité, de l'indifférence et doit s'adapter à un changement radical de situation. On est cependant loin de Princesse Sarah vu que l’ambiance se veut quand même légère. Peut-être que Candy Candy, sans le côté dramatique et le background de guerre mondiale, s'en rapproche d'avantage. Point trop ne faut de séries "tranche de vie", du moins à mon goût. Une de temps en temps en revanche, cela peut être assez rafraichissant. On notera néanmoins un humour léger qui ne passerait jamais en France (la scène de bondage !).
Nombre d'épisodes vus : 13 Des robots géants pilotés par des adolescents et l'impact psychologique, cela a déjà été magistralement couvert par Evangelion. Kamisama Dolls se situe lui dans un cadre plus rustique vu que c'est un village de montagne qui passe à certains de ses enfants le pouvoir mystique de contrôler des machines hautement avancées (construites en bois ?). La ressemblance s'arrête là, vu que les combats semblent gratuits et juste une occasion de voir les kakashi s'affronter. C'est d'ailleurs un miracle qu'ils ne commettent pas un massacre en dommage collatéral dans la grande ville, ces petits cons. Kamisama dolls est une bonne série, notamment grâce à la façon dont elle dévoile progressivement l'intrigue. Par contre, j'ai trois griefs envers elle :
A noter, j'adooooore les expressions faciales de la petite : Mes animes de l'automne 2011, partie 1 |
|||||||||||||
de l'HTML de tuerie de l'action, du suspense une drow habillée léger |
Commentaire subversif en attente de modération.